Placer dans le même article, au même plan « la libre circulation des personnes, des services, des marchandises et des capitaux ainsi que la liberté d’établissement » ne revient-il pas à avouer sa féodalité au système ultralibéral qui ne fait pas de différence entre ouvriers et machines (si, les deuxièmes ne font pas grève !), qui ne voit le monde qu’en terme de lignes sur des budgets comptables. Alors dans cet esprit (et seulement dans celui-ci) il est possible d’associer une liberté fondamentale comme celle de la libre circulation des personnes (article 13 de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948) à la circulation des services ou des capitaux.