Les violences sexistes et sexuelles sont structurelles et largement sous évaluées. Dans l’immense majorité des cas elles sont commises par des hommes, et ce sont les femmes qui en sont les victimes. Elles ne sont pas des faits isolés, mais le produit d’un rapport de domination qui s’installe dès l’enfance. Les violences sexuelles qui s’exercent sur les filles et les garçons dans l’enfance contribuent fortement au maintien du système patriarcal. Les combattre, c’est s’attaquer aux racines des inégalités, et c’est au cœur du projet féministe, syndical et de transformation sociale que porte la FSU.
Éradiquer les violences sexuelles sur les mineur·es n’est pas seulement une nécessité : c’est une urgence sociale et un combat politique et féministe que la FSU mène au quotidien parce qu’elle rassemble massivement les personnels des services publics engagés auprès de la jeunesse.
 NIÈVRE