Nous étions ensemble massivement dans l’action le 20 janvier. Nos revendications : défense du pouvoir d’achat des actifs et des retraités, refus des suppressions de postes, défense des statuts et des services publics, rejet des transferts de missions et de personnels, abandon du projet de loi d’orientation sur l’école, du projet de LOP sur la recherche et l’innovation.

Le seule réponse du gouvernement à cette mobilisation massive a été l’affirmation qu’il poursuivrait la même politique ! Non seulement il ignore les revendications mais il avance des mesures qui constitueraient des régressions supplémentaires.

Le 5 février est une occasion de donner un prolongement à notre action en convergence avec l’ensemble des salariés.

"-" parce que la remise en cause du code du travail et la remise en cause des statuts et des services publics sont les deux versants d’un même politique de régression sociale

"-" parce que la volonté d’alourdir le temps et les conditions de travail menace aussi bien le public que le privé

"-" parce que salariés du privé comme salariés du public, actifs et retraités, nous voyons tous nos salaires et pensions stagner, notre pouvoir d’achat régresser

"-" parce que la lutte pour l’emploi et contre la précarité concerne tous les salariés et que la défense de l’emploi public est un élément de cette lutte.

"-" parce que des services publics partout performants, une école qui ait les moyens d’assurer la réussite de tous les jeunes sont des facteurs déterminants d’une politique de droits, de justice,de développement économique et social.

Alors le 5 février soyons tous ensemble dans l’action et débattons des suites à donner au mouvement

Participez massivement à la manifestation qui aura lieu le 5 février (10 heures) à Nevers (départ de la gare).