La grève ne se nourrit pas du désespoir mais de l’espoir.

Nous avons besoin d’une réforme des retraites qui n’aggrave pas nos conditions de travail sous prétexte de contreparties, qui ne nous oblige pas à travailler encore plus longtemps au risque que notre santé empire, qui ne nous soutire pas les richesses que nous contribuons à créer au profit de quelques uns.